On avait décidé
Hop le coeur au placard
Puisqu’il ne servait plus
Il avait le cafard
Confiné dans sa gangue
Il se mourait, exsangue
Quand tout d’un coup
D’un seul,
Quand la France nécrosait
On frappa à sa porte
Et même on le secouait
On l’avait reconnu
On lui donnait de l’eau
On lui hurlait
« Regarde, regarde
Les battements sous la peau »
Bravo Audrey.
Superbe.
S’il te prend l idée d’écrire des textes de chanson 😉
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Merci Corinne 🙂 C’est déjà le cas en fait !
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