La peine marbrée glisse
Sur les pierres du cimetière
Crois-tu que l’eau des fleurs aurait été changée ?
Pour moi toutes les fleurs
Sont mortes désormais
Sur la tombe d’à côté
Lui aussi hume l’air
Lui aussi cherche un signe
On dirait que jamais
Jamais ne se résigne
Même si l’âge le dévore
Il n’oublie pas son cœur
Fiché six pieds sous terre
Mes larmes épuisées
Se mêlent à la rosée
Crois-tu que les oiseaux arrêteraient de voler ?
Pour moi tous les oiseaux
Sont sans ailes désormais
Sur la tombe d’à côté
Contre son pouls il porte
Son souvenir en poussière
Dans un cadran de montre
Pour lui le temps s’est mué
En éclats de cendres dorées
Tes mots sont des feuilles d’automne au printemps.
Observatrice mais jamais à l’écart de ce qui se rrssent
Tes tripes ( non pas à la mode de Caen !) servies un plateau avec cette chaleur glaciale et aimante.
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Tes mots sont des feuilles d’automne au printemps.
Observatrice mais jamais à l’écart de ce qui se ressent.
Tes tripes ( non pas à la mode de Caen !) servies sur un plateau avec cette chaleur glaciale et aimante.
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Sympa, ce petit commentaire charcutier ^^
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