Penser à quelqu’un
Quand rien ne t’y oblige
Penser à celui
Qui jamais ne transige
Penser à quelqu’un
Quand le malgré soi s’en mêle
Penser à quelqu’un sans nom
Pensez à ses mains, au son
De sa peau contre la mienne
Y penser et l’intégrer
Dans tous les pores de sa peau
Comme l’oiseau enfin qui décolle
Ne touche plus jamais le sol