La maison s’est effondrée
Et je suis en miettes à côté
Le coeur ouvert, pulvérisé
En morceaux de chair brisés
Tu continueras ton chemin
Sans regarder en arrière
Je vais arrêter de respirer
En pensant à tes mains
Que je ne sentirai plus jamais
Tous ces mais qui se dressent entre nous
Sont d’injustes coups de marteau
Alors que j’avais remisé les armes
Je dois monter en hâte un mur
Entre moi et mon coeur, mon âme