Les bras de la rivière
S’écartent et se séparent
Comme la croûte terrestre en flammes
L’amour charrié comme une pierre
Par le fleuve furieux
Une oriflamme déchirée
Un jour son lit sera calme
Un jour il sera la mer
Les bras de la rivière
S’écartent et se séparent
Comme la croûte terrestre en flammes
L’amour charrié comme une pierre
Par le fleuve furieux
Une oriflamme déchirée
Un jour son lit sera calme
Un jour il sera la mer
J’aime me promener dans le ciel d’Astoria, vaguer parmi ses nuages, ses tempêtes et ses lueurs.
Et là, je viens de me faire entourer par les bras de sa rivière et puis viennent les secousses de son fleuve furieux…
C’est bon ça ! 😉
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Merci du fond du cœur Sam 🌟
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