A hauteur de cancrelat, les volumes ne sont pas les mêmes. Les peines non plus. Peut-être n’en a-t-il pas. Ses antennes luisantes ne captent aucun battement de coeur, aucune connexion neuronale toxique à l’écoute d’une stridence de guitare électrique.
Il se concentre juste sur l’effritement du mur en pierre, qui peut le précipiter à tout moment vers la mort, sans sommation.
Elle le regarde se faufiler entre deux lattes du plancher zébré par les passages successifs des êtres humains, insouciants ou le coeur gorgé de solitude qui se déverse en flaques, selon les jours.
Il disparaît. S’il revient, elle le tuera.